Tout savoir à propos de Franc-maçonnerie
La crucifix est aux Romains ce que la échafaud est aux Français : un instrument fatal pour utiliser la mise à mort. Et toutefois c’est elle qui deviendra le symbole universel de la Église, le croissant l’est pour l’Islam et l’étoile de David pour le Judaïsme. La calvaire s’est imposée au dol du identité bien plus archaïque qu’est le pagelle ( 1 ) Symbole des énigmes de Pâques, la calvaire rappelle bien évidemment le coté macabre du Christ mais aussi sa renaissance : elle est vide, comme le tombe bertin. Mais l’adoption de ce identité par la Église n’est pas automatiquement pratiquant à la réalité qui fonde le Christianisme.
La calvaire euscarien ou lauburu est un identité spécialement formé de 4 « virgules », identité du pays euscarien, qui indiquerait dès le début le agissement du temps ( utilisable de janvier à décembre ), ou les 4 éléments – l’eau, la boue, le feu de signalisation et l’air. Et voici, c’est fini. Mais n’allez pas penser qu’il il n’y en a que ces croix-là, car ils existent bien d’autres, comme la crucifix orthodoxe, la crucifix après-midi, la crucifix de Malte, la calvaire tréflée, la calvaire Occitane…
Souvent appelé de crucifix, la croix latine génère la crucifiement du Christ. Historiquement, il semble que ce modèle de croix chrétien soit soubassement du rasoir, un empreinte identitaire d’origine païenne. Dans un nombre élevé de pays de l’univers ( spécialement en Asie ), la croix latine est vue comme une forme représentative de culte animiste datant de l’ère préchrétienne. Avant que le Christianisme n’en transforme le personnalité talisman catholique que nous aujourd’hui, elle aurait pu représenter quelque chose ou quelqu’un comme les 4 endroits cardinaux, le lien entre l’horizontalité de notre montre et la verticalité du monde spirituel, la , etc. C’est ainsi sincèrement durant la crucifixion de Jésus de Nazareth que la calvaire romaine pris un tout nouveau sens pour devenir le identité de l’amour et de l’altruisme du Christ, ainsi que de sa sacrifice revers le peuple des hommes. L’adoration de la crucifix homme s’est ainsi d’un côté commune par leur région de l’europe, mais a également affecté de manière spectaculaire l’Afrique et les eurasie. Au XVe siècle, il fut de plus en plus il est compliqué pour un nombre élevé de Africains réduits en assujettissement de conserver leurs cultures et leurs croyances lorsqu’ils entraient sur le Nouveau Monde.
Le pape François remet au cœur de notre sang-froid la vocation de l’homme, soit celle de m’introduire dans la «mystique du vivre ensemble», véritable sens de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens de marquer un prenant, dans l’écoute, la communication, l’accompagnement. Nous devons emporter les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins nécessité de tau que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la véritable foi» habités de la présence de la vie paradisiaque. Voilà le bon sens qu’est commencement fournir la Croix !
Le mot « Croix » dérive du latin Crux. Chez les aînés romains, il s’agissait d’un device employé pour appliquer des terribles souffrances, la crucifixion quelque peu. Mais, en restant dans le contexte des symboles, rappelons-nous que dans la numération pesette le chiffre 10 s’écrit X, élément qui rappelle beaucoup une croix. En arrivant au Christianisme, comme nous l’avons déjà avancé, la crucifix est l’indispensable empreinte identitaire de cette croyance. Elle rappelle, en effet, le coté sombre de Jésus, crucifié par devis transport de Ponce Pilate, Procurateur romain de la gainier, qui le condamna à fond. Paradoxalement, d’un acte si coléreux et accablant, la croix est née à nouveau et a assumé une valeur marchande joyeuse, parce que la passion et le coté sombre de Jésus coïncident avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour hommes. Un identité d’amour absolu, ainsi, de sacrifice extrême.
Le symbolisme psychologique paroissien a gouter son âge d’or aux années qui défilent des cathédrales, ce qui signifie au Moyen Age, il s’est étendu mais est resté en vie à la Renaissance et il a vécu un certain soir à partir des Temps Modernes. à présent, il est plutôt l’affaire de pro et si les générations d’avant la seconde guerre mondiale ont encore eu des apparence de symbolisme, ces apparence s’effacent comme dessins sur le petits cailloux au niveau des nouvelles générations. Comment en est-on abordé là ? La déchristianisation progressive de notre équipe y est pour beaucoup, assurément, mais le fait que les pratiquants n’ont plus trouvé au centre du clergé les guides qui pouvaient leur procurer les clefs du symbolisme roumi n’y est nullement non plus passif.
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