Zoom sur Nuisibles en Île-de-France


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Mis à part quelques cas ( comme les doryphores par exemple, qui, venant de contrées lointaines, n’ont pas relativement de prédateurs d’origine naturelle ), les nuisibles ne deviennent nuisibles au jardin que lorsqu’ils se trouvent en surnombre…Et cette population démesurée, responsable de dégâts dans nos cultures, est pratiquement toujours la conséquence d’un déséquilibre…Alors, certes, du fait des pollutions environnantes entraînant la disparition, plus qu’inquiétante, de quantités d’insectes ( près de 80% d’entre-eux auraient disparu en une trentaine d’années en europe ! voir ici ), d’oiseaux, de batraciens ou de mammifères, les équilibres d’origine naturelle sont aujourd’hui bien précaires…Et même le simple fait de jardiner occasionne lui-aussi des déséquilibres puisque nous intervenons sur le sol et la végétation ( en éliminant la végétation spontanée afin de laisser le champ libre à nos cultures.. ) …… Donc, en conséquence, sur les colonies animales ! Mais ne pouvons-nous pas au moins, à notre niveau, participer un tant soit peu à préserver quelques espaces d’origine naturelle susceptibles d’abriter une faune diversifiée ? Pour beaucoup de jardiniers, la peur des « nuisibles » est telle qu’ils ne peuvent s’empêcher de vous aider dès lors qu’ils remarquent des animaux inconnus à leurs yeux…

Il est essentiel de propulsé un produit sous les tuiles au niveau de la zone infectée ou sur toute la toiture. Cette intervention élimine les guêpes et les nids qui s’y sont logés. En effet, certains facteurs, la nature à proprement dite, comme les conditions météo ( réchauffement climatique, dérèglement des saisons ) aide la multiplication de certains insectes ( moustiques, guêpes, frelons… ) et l’installation des guêpes sur une période plus vaste. La période parfaite pour améliorer la réussite du traitement est juin-juillet, c’est à ce moment-là que la plupart des nids sont construits. Un solution plus précoce, à partir du mois d’avril, est possible afin de réduire la propagation.

Cette méthode simple et efficace ne nécessite pas l’emploi d’articles chimiques. Utilisez-la plutôt aux autres quand c’est possible. Pour tuer les animaux par la basse température, déposez-les au congélateur pour au moins trois jours. Il est un plus de mettre un seul spécimen par fabriquées avec, accompagné des notes de chasse et d’un morceau de papier essuie-tout pour éviter la condensation. Il vaut mieux garder les spécimens au froid plus longtemps que d’avoir la génante surprise de rencontrer un insecte qui remue sur une épingle entomologique. Ceci est particulièrement important pour les bourdons et les guêpes capturés au printemps; ils ont passé l’hiver à l’état adulte et sont plus tenace au froid. il faut à peu près 30 minutes pour asphyxier la plupart des petits arthropodes et en moyenne une heure pour les plus gros. Pour utiliser l’acétate d’éthyle, il faut préparer une chambre asphyxiante. Il s’agit d’un contenant hermétique ( récipient ou tube ) dans lequel se trouve un matériau qui absorbe le poison et où on enferme l’insecte à tuer. La taille de la chambre asphyxiante varie selon les types d’insectes recherché.

Avec ses 3 cm de long à peu près, le frelon d’asie est un peu plus petit que le frelon européen mais sa délivrée est plus sombre au niveau des ailes et du thorax qui ne porte qu’un anneau jaune-orangé avec un triangle noir. Ses pattes sont également jaunes, ce qui fait qu’on l’appelle parfois, aussi, frelon à pattes jaunes. en dehors des cas d’allergie, ses piqûres affichent la même dangerosité que celles des frelons d’Europe ou que des abeilles. Il est diurne et vit en colonie, comme les abeilles, avec une reine chargée de la ponte, qui créera un nid au printemps pour acquérir une génération sexuée d’ici à l’automne qui suivra. Le nid volumineux ( autour d’1m de haut sur 70 cm de vaste ) est conçu à partir de fibre de cellulose mâchée, et souvent accroché dans un arbre mais également sous le toiture de votre habitation, dans une cheminée ou tout autre abri. Les reines vivent 1 an, elles ne survivent pas à l’hiver, mais des frelons femelles reproductrices fécondées vont se reproduire qui, l’année d’après, nidifieront à leur saut.

Vous constatez la présence de rats dans votre bâtiment ou à proximité de votre batisse ou de votre site ? Alors, il est tant de procéder à une dératisation avant que des souris ne s’installent. En effet, la présence de rats peut avoir des conséquences sur votre santé et sur votre sécurité. Ceci est dû au fait que les rats rongent, dépensent et souillent ce qu’ils ne mangent pas, les rendant impropres à la consommation. par ailleurs, ils s’attaquent aussi aux matériaux isolants, câbles, gaines et fils électriques provoquant ainsi des pannes, courts-circuits, incendies et méfaits sonores. de ce fait, les rats sont, directement ou par leurs parasites au départ de multiples maladies ( leptospirose, salmonellose, etc. ) qui peuvent engendrer de lourdes complications pour l’homme et les animaux domestiques.

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