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dans le cas où vous connaissez un peu les mangas, en lisez, ou visualisez des animés, vous êtes propriétaire d’ sans doute noté qu’il il n’y en a pas « un » style manga, mais des modèles, propice à chaque réalisateur, qu’on découvre sous cette étiquette. Des formats les plus franches et trop mignons en passant par les plus réalistes ou les plus dynamiques, il y a là un véritable panel de variantes possibles. Pour entreprendre de, le style manga s’est élargi au fil des années. Depuis son apparition, jusqu’à maintenant, nous pouvons noter une évolution sensible dans les outils et le féminin à véritablement parler. D’abord très influencé par la ferme us et Disney, il s’est peu à peu mélangé au style artistique japonais pour aboutir aux mangas que l’on connaît depuis une ou 2 décennies. Ce sont ces formats plus récents sur quoi je m’attarderai aujourd’hui.En 1946, le soleil levant se reconstruit après les dommages de la guerre… Une époque où les américains diffuse leur production à travers leur domination et influencent extrêmement les fabrications de ce stade. En effet, les yonkoma ( ces fameux manga en « 4 compartiment » ) sont un soubassement des réputé comics bande dessinée américain : Garfield ( 1987 ) ou encore Snoopy ( 1950 ), en sont des exemples. S’ils voient leur journée dans la presse, quelques rédacteurs en ont fait des mangas : Sazae-San ( 1946 ) de Machiko Hasegawa à peu près partie. Bien qu’humoristique, Sazae-San relate le quotidien d’une famille japonaise passagère après les des fêtes de la deuxième Guerre Mondiale, apposant un contexte culturellement intéressant, pour une fable distribuée sur 45 tomes.Commençons par les Kodomo, il s’agit de mangas destinés à un très jeune public, les peintures y sont en général assez franches. Ce sont des détraquement truffées d’aventures, avec de juvéniles personnages et leurs bandes d’amis. Il n’y a pas impérativement d’antagoniste, on n’y introduit pas uniquement de thématiques très mauvaises d’ailleurs. On reste sur du « bonhomme » et les dislocation se sont à la fin perpétuellement par un heureux end. Je suis sûre que tout le monde ici en a déjà vu au minimum un et a adulte avec. Au occasion, y en a-t-il ici qui connaissent Pokémon ? Parmi d’autres grands noms de ce style nous devons également parfaitement parler : Hamtaro, Keroro, Doraemon, Chi – la vie de chat, Magical Doremi, Yo-kai Watch, Astroboy, Digimon ou Beyblade. Notez que je ne me limite pas uniquement au format papier « manga », mais que j’y inclus également des animés pur et dur.Cat’s Eye est l’une des premières grandes émissions tv de Tsukasa Hôjô, avant City Hunter ( Nicky Larson ) puis relatives Compo ou Angel Heart. Écrivant déjà les lignes de ce qui sera le féminin de l’auteur, l’histoire met en chaire un cadre sans pouvoirs spéciaux ou évènements mystiques. La force de Cat’s Eye repose sur son trouble fabuleuse dans un jeu du chat et de la souris, en résumé très bon enfant. Mais le contrôle de Hôjô sur la conception des figurines et le rythme constamment naissant ont abusé l’attention des lecteurs et lectrices, dans une milieu très marquée par les années 1980. Le mangaka affinera son féminin dans la même mesure ou proportion de sa vie, sans en aucun cas trahir cette œuvre référencielle.Il est honnête de faire remonter le manga à Hokusai Katsushika qui semble être le pionnier à avoir employé le terme avec sa clan de bouquins que l’on appelle Hokusai manga qui sont imprimés à partir de 1814. Mais il s’agit de catalogues d’illustrations et c’est négliger un peu rapidement l’importance vitale des emakimono, ces rouleaux dessinés ( duquel les 4 Chôjûgiga ) qui apportent des séquences d’images saisissant des textes et du croquis. Ceci dit, là d’ailleurs, il ne s’agit pas de bande dessinée à exactement parler.Passons désormais aux shojos, les mangas féminin. Évidement, il y a en premier lieu les shojos berceuse qui sont uniquement fondé sur la vie amoureuse d’une jouvenceau. Généralement, elle n’est pas la plus appréciée de son agence didactique et est sensuelle du plus estimé. Évidement, elle ne sera pas seulement amoureuse de ce garçon mais aussi d’un beau poincare maussade, c’est la source du triangle don quichotesque. Mais il y a un autre type de shojo : le magical girl tel sailor moon s’est dévelloppé dans l’hexahone à l’aide des animés. Une jeune fille foncièrement insignifiant remporte de rares effets au moyen d’un balle magique dans l’optique de combattre des ennemis de toute sorte. Cependant le type magical girl n’est pas totalement insoucieux du shojo cantique parce que ici aussi, un mec gay est un chapitre auquel l’on pense peu du mythe.
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