Tout savoir à propos de decoration chretienne
La calvaire : quelle est sa signification fidèle et mystérieux ? Comment interpréter le identité de la crucifix ? En quoi la calvaire peut-elle nous donner les moyens de gagner les arcanes de l’univers ? La tau est un personnalité millénaire, utilisé bien avant le Église. A la fois vieillotte et moderne, la tau existe sous des formes nombreuses, avec des sens et des discernement qui peuvent varier.
La crucifix de Saint-André est une crucifix qui a l’apparence d’un X. Elle tient son nom de Saint-André, qui aurait été crucifié sur une calvaire de cette forme. Elle peut aussi être dénommée tau décussée, ou écharpe, et est très employée sur les images et les drapeaux, ou encore comme personnalité d’avertissement. La croix de Île-de-france ( ou crucifix patriarcale ) est une calvaire romaine possédant une deuxième barre fille légère en haut. Elle était organisée sur les étendard des archevêques puis fut employée par les ducs d’Anjou, devenus ducs de guadeloupe ensuite. La barre omnipotente donne un écriteau qui aurait été placé prééminence du Christ ( « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » ).
Selon la légende connu, la croix celtique a été introduite par saint Patrick lorsqu’il convertit les païens d’Irlande au Christianisme. Il a été dit que saint Patrick aurait fabriqué la croix latine classique avec le personnalisation rondelette des rayons du soleil infidèle pour donner aux adhérents nouvellement convertis l’idée de l’importance de la calvaire évangélique en la alliant au symbolisme psychologique des propriétés vivifiantes des rayons du soleil. des disent plutôt que placer la tau fidèle au sommet du club représente la primauté du Christ sur le dieu-soleil, qui était adoré par les païens. Selon certaines sources encore, les cercles auprès de l’intersection de la crucifix protestant sont l’unification, l’intégralité, et l’inclusion de la religion dans notre vie. Toutefois, il est clair qu’une grande partie de la légende verbal et de la des anciennes voies celtiques a été perdue.
Beaucoup de chrétiens aiment porter une crucifix sur la poitrine. Ils adorent cette crucifix étant donné que jésus-christ a sauvé le monde en laissant sa vie sur la tau. Beaucoup de prêtres et de sacré font aussi la croix. Ils cherchent offrir par-là leur don total à Jésus, leur maître. Les évêques aussi portent une crucifix pectorale. Mais les frères de quelques églises chrétiennes, dès qu’ils voient quelque chose ou quelqu’un avec cette croix sur la poitrine, commencent à le critiquer et à lui sermonner de martyriser le sauveur du monde, de fonctionner comme un idolâtre…
La crucifix est ce qu’il y a de plus populaire : elle est présente dans tous les symboles ( effectifs, lettres, étoiles, formes géométriques ), réalisations, produits, tissus, constructions et représentations. La calvaire fait partie des 4 symboles fondamentaux avec le cabinet, le club et le carré : elle établit une relation entre les 3 autres. En réalité, la tau et sa apportent ajour au symbolisme psychologique le mieux et le plus immense. Elle est un style artistique commun pour tous hommes. Pourtant, la profonde de la calvaire s’est perdue. Or nous venons regarder que la croix porte en elle différents choses de l’esprit et de cette thématique.
Si sa forme a évolué au cour des siècles, le chrisme est constitué au départ de l’alliance de deux lettres antiques grecques superposées. La première se rapproche à un X ( chi ), alors que la deuxième ressemble d’un P ( rhô ). De cette débat résulte un personnalisation qui arrive tels une astéroïde à six branches dont la domaine divine aurait été ornée d’une bouclette. Plus tard, le chrisme s’est simplifié jusqu’à se transformer en classique soleil inscrite dans un cercle : il s’agit ainsi d’une roue à six fours branches, marque identitaire de l’unité et du lien assuré par la certitude entre les exubérants et le religieux. Au fait, pourquoi parle-t-on fréquemment de « timbre du Christ » ? Les deux lettres qui forment le chrisme sont les mieux du mot grec Khristos qui désigne sauveur. En grec, l’appellation désigne ce qui est gothique et ce qui a récolté l’onction. Il proposera vie au terme christus en latin, qui proposera à son tour Christ en français moderne. Dans l’est de l’Europe, le chrisme est parfois représenté dans une sortie enrichie des deux lettres alpha et oméga ( 1ere et dernière lettre de l’alphabet athénien ) qui symbolisent le début et la fin. On comprend ainsi pourquoi le chrisme est un empreinte identitaire baptisé de avant : sa présence convoque d’emblée celle du Christ et consacre un perfection à celui ou celle qui le porte.
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